C’est triste mais vrai…
Je suis obligée de confier des activités d’un niveau inférieur aux capacités techniques de certains collaborateurs tout ça parce qu’ils manquent d’autonomie.
L’autonomie est la résultante de la compétence (connaître, savoir-faire) et de la motivation (vouloir faire, savoir-être), face à un objectif ou à une mission donnée.
Le pire c’est qu’on en vient au serpent qui se mord la queue : c’est le phénomène des “sur-compétents démotivés”.
Mais dans la vraie vie, il faut savoir que pour acquérir une nouvelle compétence ceci nécessite un effort, donc de la motivation.
Mes conseils pour un manager qui souhaite être efficace :
- 😍 Évaluer en permanence l’autonomie des collaborateurs et de l’équipe.
- 😍 Créer les conditions propices au développement de l’autonomie.
- 😍Ne vous épuisez pas avec les gens qui ne souhaitent pas être accompagnés. Concentrez-vous sur vos forces, notamment les collaborateurs motivés. De plus ils le méritent…
🎁 Sachez qu’il existe 4 niveaux d’autonomie :
- Niveau 1 : très faible, la compétence du collaborateur est faible. Il en est de même pour sa motivation.
- Niveau 2 : faible, la compétence est faible mais sa motivation est importante (le collaborateur veut bien mais ne sait pas faire).
- Niveau 3 : moyen, le collaborateur est compétent mais sa motivation est faible ou conditionnelle.
- Niveau 4 : fort, le collaborateur possède une expertise réelle ; il est motivé.
Le souci permanent du bon manager doit donc être d’appréhender le degré d’autonomie sur ces 2 critères : motivation et compétence.
Donnez-moi votre avis ou expérience sur la question en commentaire 💙
Sitti MSHANGAMA
💡Accélératrice de croissance🚀 Conférencière Management & Leadership | Consultante Gestion de projet & Insertion prof. | Podcasteuse | Co-fondatrice GAMA Consulting | 🇰🇲 🇫🇷
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