Ce n’était pas de la paresse. Ni un manque de motivation. C’était de la fatigue décisionnelle. Il m’a fallu du temps pour mettre un mot dessus.
Ce moment où l’on a tout donné. Où le cerveau dit « stop », même quand le cœur dit « encore ». Pas parce qu’on est faible. Mais parce qu’on a trop décidé.
- Décider pour les autres.
- Décider dans l’urgence.
- Décider sans pause, sans filtre, sans marge.
Et soudain, on doute; On repousse; Ou pire : on choisit par défaut. La fatigue décisionnelle est réelle. Elle frappe les leaders, les mères, les bâtisseurs, les piliers silencieux. Celles et ceux qui tiennent des murs invisibles.
Ce n’est pas une faiblesse. C’est un signal. Celui qu’il est temps de repenser sa façon de fonctionner. Voici ce que j’ai appris, et que je transmets aujourd’hui dans mes accompagnements :
- Anticipe : Ne laisse pas l’urgence décider pour toi.
- Structure : Moins de choix. Plus de clarté.
- Protège ton énergie mentale : C’est ton bien le plus précieux.
Parce qu’un esprit saturé ne peut pas inspirer et qu’un leader épuisé n’a plus d’impact. Choisir, c’est un art. Mais apprendre à choisir ses batailles, c’est du leadership.
Sitti Inspire – Inspirer les leaders. Transformer les équipes.
Sitti ABDALLAH MSHANGAMA, Experte en Stratégie, Leadership & Transformation des Organisations