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Mon constat amer de directrice d’organisation

Bienvenue dans la jungle du management ! En tant que directrice d’organisation, j’ai réalisé qu’il y a une chose qui résiste au temps et aux réformes : la résistance au changement.

Oui, mesdames et messieurs, malgré tous nos efforts pour innover, l’inertie institutionnelle est aussi tenace qu’une tache de vin rouge sur une chemise blanche. À ce stade, je me demande si je devrais ajouter « exorciste de la stagnation » à mon CV.

Et parlons de l’innovation, voulez-vous ? On pourrait penser que dans un monde en perpétuelle évolution, les gens seraient prêts à embrasser le changement. Mais non, introduire de nouvelles idées ? C’est comme essayer de convaincre un dinosaure de devenir végétarien.

Quant à la gestion d’équipes diversifiées et aux attentes des parties prenantes, c’est un peu comme jongler avec des grenades dégoupillées. Vous avez une chance de réussir, mais il y a toujours ce risque que tout vous explose à la figure.

Donc, voilà, c’est la réalité d’être directrice d’organisation : naviguer entre les murs de scepticisme, l’inertie et les attentes irréalistes, tout en gardant un sourire digne de Miss Univers.

À tous ceux qui se battent dans cette jungle corporative, rappelez-vous : la prochaine fois que quelqu’un dit que le changement est difficile, dites-lui que c’est parce que l’évolution a décidé de faire une pause café.

A vos avis dans les commentaires !

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